👉 Pas de brief, pas de garde-fou, pas de langue de bois. Juste lui, face à ses mots et face au public.
📍 3 juillet. Soirée de l’Assurance PLANETE CSCA AURA.
 J’anime l’échange. Jérôme Kerviel monte sur scène. Il a choisi de jouer franc-jeu : aucune question connue à l’avance, rien de verrouillé. Je veux souligner ce choix radical, rare.
Alors oui, certains diront :
« Après ce qu’il a traversé depuis 17 ans, répondre sans connaître les questions, pour un ex-trader qui assume sa faute mais continue de questionner le système… c’est presque confortable. »
Peut-être. Mais moi qui anime régulièrement ce type d’intervention, je peux vous le dire : c’est tout sauf habituel. C’était un moment à part, hors cadre. Une parenthèse de vérité comme on en voit peu.
Dans un contexte où les prises de parole sont très souvent verrouillées, relues, vidées de leur tension…Un échange frontal, sincère… ça percute.
Et pour moi ? Un vrai terrain de jeu.
Quand l’invité ne triche pas, on peut oser, creuser, chercher la faille toujours avec exigence, sans complaisance.
Et j’ai pris un plaisir particulier à affûter mes questions, provoquer le rebond, chercher l’angle juste.
🎯 Le résultat ? Du vrai, du direct, du sensible et une assemblée qui ne s’y est pas trompée. Chacun a pu se faire sa propre idée… et peut-être repartir avec un autre regard sur “l’homme derrière les 50 milliards de la Société Générale.”
                    Â
👏 Merci Jérôme Kerviel pour cette transparence assumée. Et chapeau à Planète CSCA AURA, Quentin Ginet inviter Kerviel, fallait oser !
Mais ce choix singulier, ce format sans filet… ça a fait bouger les lignes.
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